Ashton CARTER suit de près les avancées du VR

Ashton-Carter

Les responsables du laboratoire de la Marine de la première armée du monde ont eu l’honneur de recevoir la visite de leur chef, en l’occurrence le Secrétaire d’Etat à la Défense, deuxième homme fort après le Président des Etats Unis dans le protocole de l’administration « Obama ». C’est dire l’importance que le gouvernement américain accorde aux avancées des recherches appliquées aux services de l’US Navy. Le suivi de la technologie VR était au centre de cette visite.

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RIEN AU HASARD DEPUIS « Tom Furness journey » RIEN N’EST LAISSE AU HASARD

L’US Army a toujours su profiter des nouvelles technologies depuis les années 80 ; elle a fait usage de la simulation pour former Gi’s et Marines. Les derniers développements de la réalité virtuelle et surtout de la réalité mixte offrent de nombreuses possibilités d’entraînements aux combats et au pilotage pour les soldats. Il est presque inutile de citer l’utilité du VR dans les différents usages qu’on en fera dans la Marine. On pourra voir, entendre en temps réels tous les paramètres. Ceci permettra de prendre les meilleures décisions.

Le pragmatisme américain usera certainement de toutes ces possibilités de la Réalité Mixte pour intégrer des paysages réels de pays des ennemis potentiels pour simuler des guerres ressenties comme « in situ ». Ce qui a pour objectif d’entraîner (pour ne pas dire conditionner par immersion) les Marines. La technologie de la Réalité Mixte est, sans conteste, un outil efficace pour la formation des soldats.

Cette « incursion » du Secrétaire d’Etat à la Défense Ashton Carter au sein du BEMR (chargé de l’exploitation de la réalité mixte) qui est en fait une branche du fameux «Space and Naval Warfare Systems » a permis d’exposer, à ce haut responsable, les dernières initiatives prises par les chercheurs. Faut-il rappeler que l’armée américaine a déjà essayé Oculus Rift depuis mai de l’année dernière?

La cherté du matériel semblait être, au départ, un blocage majeur. Mais maintenant, le coût des visiocasques est plus abordable qu’il y a une trentaine d’année et le budget de la Défense, déjà habitué au gigantisme ne s’en portera que mieux.

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